Si vous me suivez sur les médias sociaux, vous avez alors très probablement remarqué que nous sommes partis 3 semaines en Polynésie. J’en reviens avec des images plein les yeux, le cœur et l’appareil photo et je vous en parlerai certainement dans les mois semaines qui viennent.
Mais de ce voyage en Polynésie, je retiens aussi cette première fois où j’ai fait de la plongée !
Ce baptême de plongée, on l’a fait en famille : MMM, Mademoiselle et moi. Et pourtant, ce n’est pas une idée que j’avais en tête avant d’arriver sur place. C’est en regardant Mademoiselle si à l’aise dans l’eau, à nager à proximité des raies pastenagues et des requins pointes noir, à faire du snorkelling comme si elle en avait fait toute sa vie que j’ai décidé qu’il était temps de passer à l’étape suivante.
RDV pris, nous voilà un mardi matin au centre de Plongée Eleuthère dans la baie de Punaauia à Tahiti. J’arrive confiante, motivée. Mademoiselle, quant à elle, ne tenait plus en place ! C’est quand on a commencé à enfiler les tenues que j’ai senti le stress monter d’un cran et que je me suis demandée ce que je foutais dans ce centre de plongée. Je prends mon courage à demain et je monte dans le bateau qui nous emmènera plus loin dans le lagon, à quelques mètres du récif de corail. Le stress monte encore plus. J’ai carrément les larmes aux yeux et je n’ai qu’une envie : ne pas plonger.
Un des moniteurs commence à expliquer le déroulement de la séance et à décrire un site à proximité, celui des « épaves » très connu à Tahiti. On y retrouve 3 épaves : celle d’un bateau, d’un avion et d’un autre bateau à une vigntaines de mètres sous l'eau. A peine mon cerveau à le temps d’enregistrer cette profondeur de 20 mètres que je me mets en mode panique : fou rire mélangé à une crise de larmes. Un seul mot peut qualifier ce moment : pathétique ! Oui car c’est ma fille de même pas 8 ans qui a essayé de me calmer et me rassurer et surtout, ce site était à découvrir par les autres plongeurs avec nous dans le bateau, et non par nous, petits débutants.
Je réussis à me calmer et à me dire, fichtre, je ne vais tout de même me taper la honte devant ma fille – même si MMM m’a bien dit que rien ne m’obligeait de plonger si je ne le voulais pas. Je prends mon courage à 2 mains et 2 pieds, tout en pensant aux euros déjà dépensés et que je ne reverrais plus jamais. J’enfile ma bouteille d’oxygène, je mémorise les gestes nécessaires et plonge, tête en arrière dans l’eau.
Pour le baptême de plongée, nous avions un moniteur chacun. Je pouvais donc me concentrer sur moi tout en étant rassurée que Mademoiselle était entre de bonnes mains. La première immersion sous l’eau fut vite écourtée. J’étais encore en mode panique et je n’arrivais pas à respirer avec la bouteille. J’ai même bu la tasse, et pas qu'une fois. Pendant ce temps-là, je voyais ma fille et mon mari, chacun avec son moniteur, faire leur découverte sous-marine, tranquillement, palmes in the nose. Il m’a fallu un peu de temps mais j’ai fini par me relaxer, me laisser aller … sans jamais lâcher la main de moniteur (il ne faut pas exagérer non plus).
Et puis le déclic ! J'ai commencé à apprécier cette plongée et admirer, sans paniquer, les merveilles qu’offrent un tel site : des poissons clowns, des anémones, des bénitiers, des balistes, des poissons chirurgiens, des poissons papillons et autres espèces toutes en couleurs que je ne saurais nommer. Quelques poissons nous frôlent doucement, on caresse les coraux et même le fond sablonneux de la lagune et on ne sent plus le temps passer. Par moments, je vois Mademoiselle qui est comme un petit poisson dans l’eau et mon cœur de maman se gonfle de fierté. Quant à MMM, j’ai failli le confondre avec son moniteur tellement il était à l’aise dans l’eau.
Ce baptême de plongée m’a fait aimer encore plus la mer (ou dans ce cas l’océan) et la vie, l’agitation qu’elle abrite en son sein et qu’on ne soupçonne pas en dehors. Je ne sais pas si j’oserai une plongée plus avancée mais je n'ai qu'une hâte, refaire des « baptêmes » en famille ...
Ce baptême de plongée, on l’a fait en famille : MMM, Mademoiselle et moi. Et pourtant, ce n’est pas une idée que j’avais en tête avant d’arriver sur place. C’est en regardant Mademoiselle si à l’aise dans l’eau, à nager à proximité des raies pastenagues et des requins pointes noir, à faire du snorkelling comme si elle en avait fait toute sa vie que j’ai décidé qu’il était temps de passer à l’étape suivante.
RDV pris, nous voilà un mardi matin au centre de Plongée Eleuthère dans la baie de Punaauia à Tahiti. J’arrive confiante, motivée. Mademoiselle, quant à elle, ne tenait plus en place ! C’est quand on a commencé à enfiler les tenues que j’ai senti le stress monter d’un cran et que je me suis demandée ce que je foutais dans ce centre de plongée. Je prends mon courage à demain et je monte dans le bateau qui nous emmènera plus loin dans le lagon, à quelques mètres du récif de corail. Le stress monte encore plus. J’ai carrément les larmes aux yeux et je n’ai qu’une envie : ne pas plonger.
Un des moniteurs commence à expliquer le déroulement de la séance et à décrire un site à proximité, celui des « épaves » très connu à Tahiti. On y retrouve 3 épaves : celle d’un bateau, d’un avion et d’un autre bateau à une vigntaines de mètres sous l'eau. A peine mon cerveau à le temps d’enregistrer cette profondeur de 20 mètres que je me mets en mode panique : fou rire mélangé à une crise de larmes. Un seul mot peut qualifier ce moment : pathétique ! Oui car c’est ma fille de même pas 8 ans qui a essayé de me calmer et me rassurer et surtout, ce site était à découvrir par les autres plongeurs avec nous dans le bateau, et non par nous, petits débutants.
Je réussis à me calmer et à me dire, fichtre, je ne vais tout de même me taper la honte devant ma fille – même si MMM m’a bien dit que rien ne m’obligeait de plonger si je ne le voulais pas. Je prends mon courage à 2 mains et 2 pieds, tout en pensant aux euros déjà dépensés et que je ne reverrais plus jamais. J’enfile ma bouteille d’oxygène, je mémorise les gestes nécessaires et plonge, tête en arrière dans l’eau.
Pour le baptême de plongée, nous avions un moniteur chacun. Je pouvais donc me concentrer sur moi tout en étant rassurée que Mademoiselle était entre de bonnes mains. La première immersion sous l’eau fut vite écourtée. J’étais encore en mode panique et je n’arrivais pas à respirer avec la bouteille. J’ai même bu la tasse, et pas qu'une fois. Pendant ce temps-là, je voyais ma fille et mon mari, chacun avec son moniteur, faire leur découverte sous-marine, tranquillement, palmes in the nose. Il m’a fallu un peu de temps mais j’ai fini par me relaxer, me laisser aller … sans jamais lâcher la main de moniteur (il ne faut pas exagérer non plus).
Et puis le déclic ! J'ai commencé à apprécier cette plongée et admirer, sans paniquer, les merveilles qu’offrent un tel site : des poissons clowns, des anémones, des bénitiers, des balistes, des poissons chirurgiens, des poissons papillons et autres espèces toutes en couleurs que je ne saurais nommer. Quelques poissons nous frôlent doucement, on caresse les coraux et même le fond sablonneux de la lagune et on ne sent plus le temps passer. Par moments, je vois Mademoiselle qui est comme un petit poisson dans l’eau et mon cœur de maman se gonfle de fierté. Quant à MMM, j’ai failli le confondre avec son moniteur tellement il était à l’aise dans l’eau.
Ce baptême de plongée m’a fait aimer encore plus la mer (ou dans ce cas l’océan) et la vie, l’agitation qu’elle abrite en son sein et qu’on ne soupçonne pas en dehors. Je ne sais pas si j’oserai une plongée plus avancée mais je n'ai qu'une hâte, refaire des « baptêmes » en famille ...
Je n'ai jamais plongé, mais j'ai la trouille générale de l'eau et je ne sais pas nager tellement j'ai peur lorsque je n'ai plus pied!
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